Trivia
Les infos suivantes proviennent principalement de Frankblack.net et de l'excellente biographie d'Emmanuel Dazin, Pixies (Castor astral, 2005).
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- Contrairement à ce que l’on croit et écrit souvent, Frank Black n’est pas né à Long Beach (Californie) mais à Boston (Massachusetts), le 6 avril 1965.
- Il avait tout juste trois mois quand sa mère observa pendant une heure et demie une «grosse soucoupe volante» dans le ciel nocturne du Nebraska. Une expérience dont il n’a évidemment gardé aucun souvenir, mais dont le récit l’a suffisamment marqué pour lui inspirer deux chansons (Manta Ray et Dancing the Manta Ray).
- Lui-même, bien plus tard, vécut une aventure similaire avec son frère Errol, racontée dans sa chanson Le Cigare Volant.
- Avant de se mettre à la guitare, Frank Black a joué de la batterie.
- A 8 ans, il possédait tous les albums des Beatles.
- A 9 ans il donnait son premier concert, interprétant à cette occasion Why Oh Why de Woody Guthrie.
- Vers 10-12 ans, il s'improvisa boulanger pour se faire un peu d'argent. «Je ne suis pas sûr qu'il se soit fait beaucoup de fric comme ça, précise Neal, un de ses anciens voisins à Harbor City. Mais son pain était sacrément bon.»
- Sur le forum de FrankBlack.net, le même Neal a fait quelques révélations sur la jeunesse de l'artiste : «Je le connaissais sous le surnom de Chucky. (...) A l'époque, il gratouillait déjà la guitare, mais il n'avait pas de sujets d'inspiration. Sa mère avait une soeur beaucoup plus jeune qu'elle, Dee Dee, qui n'avait en fait qu'un an ou deux de plus que Chucky. Nous vivions tous dans une cité près d'une patinoire. Chucky, sa mère et son frère vivaient dans un immeuble, son grand-père, sa grand-mère, son arrière-grand-mère et sa tante Dee Dee vivaient dans un autre, et moi et ma famille habitions quelques portes plus loin. Chucky, Dee Dee et moi traînions ensemble, nous passions notre temps à torturer le frère de Chucky (qui était une petite peste) et son arrière-grand-mère (qui était un peu sénile). Je n'en suis pas trop fier mais bon, nous n'étions que des gosses. La famille de Chucky était assez religieuse, à l'exception du grand-père, qui pariait aux courses deux ou trois fois par semaine. Chucky et son frère étaient tous les deux des gamins sensibles avec un côté artiste, mais ils étaient aussi des malabars, et Chucky en particulier était très costaud. Je me souviens qu'un jour il m'a salement botté le cul pour avoir emmerdé son petit frère. Je suppose que ce jour-là il est passé du mode "grand frère tortionnaire" au mode "grand frère protecteur"...»
- Il n'avait pas plus de 15 ans quand il écrivit la première ébauche de Here Comes Your Man et de Velvety (notamment...).
- Fan de Donovan depuis toujours, Frank Black a repris deux de ses compositions, Sleep (b-side de St. Francis Dam Disaster) et Atlantis (bonus track sur l’édition japonaise de Honeycomb).
- Cette admiration pour Donovan est l’un des points communs qui ont rapproché Frank et Joey à la fac, en 1984.
- Outre Donovan et les Beatles, Frank Black admire (entre autres et par ordre alphabétique) Beck, David Bowie, The Clash, Roger Daltrey, Ray Davies, Fats Domino, Bob Dylan, Freddy Fender, Brian Ferry, Hüsker Dü, Larry Norman, Pere Ubu, les Pogues, Iggy Pop, les Ramones, Lou Reed, The Replacements, les Rolling Stones, Doug Sahm, Del Shannon, Bruce Springsteen, They Might Be Giants, les Violent Femmes, Tom Waits, Brian Wilson et Neil Young.
- En 2000, Frank Black, entouré des Catholics et d'Eric Drew Feldman, enregistra dix titres pour un album intitulé Sunday Sunny Mill Valley Groove Day, qui devait hélas ne jamais voir le jour. Quatre de ces titres (Constant Sorrow Man, Pan American Highway, Angst et Sleep) finirent en b-sides et trois autres (I Will Run After You, His Kingly Cave et Le Cigare Volant), réenregistrés, trouvèrent finalement leur place sur Black Letter Days, Devil’s Workshop et l’édition japonaise de Dog in the Sand.
- Aux dernières nouvelles, Frank Black écouterait plus de jazz (Chet Baker notamment) et de classique que de rock.
- Contrairement à bon nombre de rockers de sa génération, Frank Black n’a jamais touché aux drogues dures. Son intérêt pour les champignons hallucinogènes – qui transparaît clairement dans certaines de ses chansons – aurait pris fin en 1988, après un bad trip à Graceland, conté de façon cryptée dans His Kingly Cave.
- Errol, le jeune frère de Frank, a repris le bar que tenait jadis leur père à Hyannis (Cape Cod, Massachusetts).
- Frank Black, son ex-femme Jean Marie et l’ex-Catholic Dave Philips ont joué dans une petite comédie indie de science-fiction, The Low Budget Time Machine, de Kathe Duba-Barnett (2003).
- Depuis 2004 Frank Black vit à Eugene (Oregon) avec sa nouvelle épouse, Violet, qui lui a déjà donné deux enfants, Jack, né le 7 janvier 2005, et Lucy, née le 20 avril 2006. Il possède une deuxième maison à Portland.
- Il avait tout juste trois mois quand sa mère observa pendant une heure et demie une «grosse soucoupe volante» dans le ciel nocturne du Nebraska. Une expérience dont il n’a évidemment gardé aucun souvenir, mais dont le récit l’a suffisamment marqué pour lui inspirer deux chansons (Manta Ray et Dancing the Manta Ray).
- Lui-même, bien plus tard, vécut une aventure similaire avec son frère Errol, racontée dans sa chanson Le Cigare Volant.
- Avant de se mettre à la guitare, Frank Black a joué de la batterie.
- A 8 ans, il possédait tous les albums des Beatles.
- A 9 ans il donnait son premier concert, interprétant à cette occasion Why Oh Why de Woody Guthrie.
- Vers 10-12 ans, il s'improvisa boulanger pour se faire un peu d'argent. «Je ne suis pas sûr qu'il se soit fait beaucoup de fric comme ça, précise Neal, un de ses anciens voisins à Harbor City. Mais son pain était sacrément bon.»
- Sur le forum de FrankBlack.net, le même Neal a fait quelques révélations sur la jeunesse de l'artiste : «Je le connaissais sous le surnom de Chucky. (...) A l'époque, il gratouillait déjà la guitare, mais il n'avait pas de sujets d'inspiration. Sa mère avait une soeur beaucoup plus jeune qu'elle, Dee Dee, qui n'avait en fait qu'un an ou deux de plus que Chucky. Nous vivions tous dans une cité près d'une patinoire. Chucky, sa mère et son frère vivaient dans un immeuble, son grand-père, sa grand-mère, son arrière-grand-mère et sa tante Dee Dee vivaient dans un autre, et moi et ma famille habitions quelques portes plus loin. Chucky, Dee Dee et moi traînions ensemble, nous passions notre temps à torturer le frère de Chucky (qui était une petite peste) et son arrière-grand-mère (qui était un peu sénile). Je n'en suis pas trop fier mais bon, nous n'étions que des gosses. La famille de Chucky était assez religieuse, à l'exception du grand-père, qui pariait aux courses deux ou trois fois par semaine. Chucky et son frère étaient tous les deux des gamins sensibles avec un côté artiste, mais ils étaient aussi des malabars, et Chucky en particulier était très costaud. Je me souviens qu'un jour il m'a salement botté le cul pour avoir emmerdé son petit frère. Je suppose que ce jour-là il est passé du mode "grand frère tortionnaire" au mode "grand frère protecteur"...»
- Il n'avait pas plus de 15 ans quand il écrivit la première ébauche de Here Comes Your Man et de Velvety (notamment...).
- Fan de Donovan depuis toujours, Frank Black a repris deux de ses compositions, Sleep (b-side de St. Francis Dam Disaster) et Atlantis (bonus track sur l’édition japonaise de Honeycomb).
- Cette admiration pour Donovan est l’un des points communs qui ont rapproché Frank et Joey à la fac, en 1984.
- Outre Donovan et les Beatles, Frank Black admire (entre autres et par ordre alphabétique) Beck, David Bowie, The Clash, Roger Daltrey, Ray Davies, Fats Domino, Bob Dylan, Freddy Fender, Brian Ferry, Hüsker Dü, Larry Norman, Pere Ubu, les Pogues, Iggy Pop, les Ramones, Lou Reed, The Replacements, les Rolling Stones, Doug Sahm, Del Shannon, Bruce Springsteen, They Might Be Giants, les Violent Femmes, Tom Waits, Brian Wilson et Neil Young.
- En 2000, Frank Black, entouré des Catholics et d'Eric Drew Feldman, enregistra dix titres pour un album intitulé Sunday Sunny Mill Valley Groove Day, qui devait hélas ne jamais voir le jour. Quatre de ces titres (Constant Sorrow Man, Pan American Highway, Angst et Sleep) finirent en b-sides et trois autres (I Will Run After You, His Kingly Cave et Le Cigare Volant), réenregistrés, trouvèrent finalement leur place sur Black Letter Days, Devil’s Workshop et l’édition japonaise de Dog in the Sand.
- Aux dernières nouvelles, Frank Black écouterait plus de jazz (Chet Baker notamment) et de classique que de rock.
- Contrairement à bon nombre de rockers de sa génération, Frank Black n’a jamais touché aux drogues dures. Son intérêt pour les champignons hallucinogènes – qui transparaît clairement dans certaines de ses chansons – aurait pris fin en 1988, après un bad trip à Graceland, conté de façon cryptée dans His Kingly Cave.
- Errol, le jeune frère de Frank, a repris le bar que tenait jadis leur père à Hyannis (Cape Cod, Massachusetts).
- Frank Black, son ex-femme Jean Marie et l’ex-Catholic Dave Philips ont joué dans une petite comédie indie de science-fiction, The Low Budget Time Machine, de Kathe Duba-Barnett (2003).
- Depuis 2004 Frank Black vit à Eugene (Oregon) avec sa nouvelle épouse, Violet, qui lui a déjà donné deux enfants, Jack, né le 7 janvier 2005, et Lucy, née le 20 avril 2006. Il possède une deuxième maison à Portland.
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