Vous reprendrez bien une bouchée de Petits Fours ?
Un petit mot pour vous signaler la chronique de Petits Fours qui vient de paraître sur Popnews. Pourquoi je vous en parle ? Primo, parce que c'est un bon zine, deuzio, parce que la chronique vient de paraître (c'est pas plus mal d'avoir pris le temps de digérer), tertio, parce que je n'ai jamais trouvé le temps de rédiger une chronique pour Blacko (personne ne s'en était aperçu, mais je me dénonce) et que finalement celle de Christophe Dufeu me convient très bien.
Libellés : chronique, grandduchy
2 Comments:
JE m'en étais aperçu!
Je n'ai simplement rien dit...
J'aime bien Popnews aussi, pour le coup je vous trouve un peu durs sur vos avis(puisque tu partages celui du chroniqueur) même si je vous rejoins complètement sur le fond néanmoins. Petits Fours, ce n'est rien de très nouveau, c'est juste sympathique et plutôt efficace pour certains titres... mais j'ai bien aimé écouter cet album quand même. Pourtant si je suis honnête, il y a des titres que je passe systématiquement maintenant, préférant me concentrer sur ce qui a le plus retenu mon attention en définitive, et à ce sujet, je suis surpris que The Long Song ne soit pas citée dans l'article! C'est quand même l'un des meilleurs moments du disque pour moi. La performance de Black Francis sur Black Suit vaut le détour aussi je trouve.
Disons que lors des premières écoutes (mis à part "Fort Wayne" qui m'a charmé d'emblée quand il a fuité), ce qui m'a d'abord frappé c'est ce que le jury de la Nouvelle Star appellerait "quelques petits problèmes de justesse" dans le chant de Madame... et le côté un peu forcé de l'association entre guitare et claviers, compos de Charles et contributions de Violet. Exemple flagrant pour moi : "Ermesinde", que tout le monde adore et que je trouve bien sympathique jusqu'à ce que déboule ce refrain vocodé, ultra-référencé et que j'ai l'impression d'avoir déjà entendu mille fois dans les années 80. Mais petit à petit c'est le charme pop désinvolte qui prend le dessus et je trouve finalement l'écoute du disque globalement agréable. C'est pourquoi l'adjectif "anecdotique" employé par Christophe en début de chronique me paraît tout à fait adapté.
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